N° 4 – Arrière central
Certes Dijon n’a pas été désignée Capitale verte européenne mais elle fut tout de même retenue parmi les quatre finalistes, aux côtés de Grenoble (la lauréate), Turin et Tallin. C’est dire tout de même le grand pas écologique franchi par la Cité des Ducs ces dernières années. Et parmi les grands acteurs de cette candidature, aux côtés du président de Dijon Métropole, François Rebsamen, figurait, lors du grand oral virtuel, le 8 octobre dernier, auprès de la commission européenne, Philippe Lemanceau, nouveau vice-président de Dijon métropole, délégué à la transition alimentaire, au plan alimentaire territorial et à la restauration collective. Celui-là même qui, comme directeur de recherche à l’INRA, avait porté également le projet d’alimentation durable à l’horizon 2030, qui, lui, a été retenu comme Territoires d’innovation de grande ambition (TIGA). C’est donc sur lui que reposent désormais le mieux manger et le mieux produire local… Une équation de taille que devrait solutionner, sans problème, cet ingénieur-chercheur qui a la recherche… de la qualité dans ses gènes !