STCE : l’entreprise du bâtiment qui recrute

 

L’adage est connu : « Quand le bâtiment va, tout va. » Il s’agit d’une idée reçue assez juste. Et aujourd’hui, l’embauche est dynamique dans les métiers les plus qualifiés. Pour preuve, STCE électricité recrute deux profils de poste : chargé d’affaires et monteur électricien. Découverte de ces métiers qui offrent de belles perspectives d’évolution dans une entreprise qui fait référence pour sa compétence et le sérieux de ses prestations.

 

L’entreprise STCE électricité fait partie du groupe STCE, qui compte 160 salariés, qui réalise essentiellement sur la Bourgogne – Franche-Comté, en gros œuvre ou en entreprise générale la construction d’immeubles de logements, de bureaux, de commerces, de bâtiments industriels ou publics. Ainsi que des petits travaux en tous corps d’Etat pour tous types de clients.

STCE détient également une filiale STCE Plomberie Chauffage qui réalise des travaux d’installation de plomberie et de chauffage.

STCE électricité emploie 35 personnes qui se répartissent sur des profils très variés : chargé d’affaires, conducteur de travaux, métreur, dessinateur, chef de chantier, ouvrier qualifié, monteur électricien et apprenti.

Cyrille Rouard est le directeur d’exploitation de STCE électricité depuis l’an passé. Une société qu’il a intégrée en 2008 en qualité de chargé d’affaires. Et c’est justement un poste de chargé d’affaires qui est aujourd’hui à pouvoir. « Nous recherchons un profil BTS électrotechnique » explique Cyrille Rouard. « Ce que nous attendons d’un chargé d’affaires, c’est de gérer efficacement un certain nombre de missions très diverses comme la réalisation des chiffrages d’appels d’offres, la préparation des chantiers, l’achat des matériels avec évidemment un suivi très précis des dépenses. La fonction touche aussi à l’encadrement et au management. Et j’ajouterai aussi que cet emploi permet une belle autonomie. »

Pierre Solainjeu

 


Christopher Ribeiro : « Le chargé d’affaires, c’est un peu un chef d’orchestre »

 

 

Christopher Ribeiro, 32 ans, est passé par la filière électro-technique. D’abord au lycée Hippolyte-Fontaine puis au CFA des Marcs-d’Or par la voie de l’alternance. Il a ensuite suivi des formations complémentaires qui l’ont amené à travailler en bureau d’études comme dessinateur-projeteur. Voilà 2 ans et demi qu’il a intégré STCE Electricité.

Ce métier nous met en relation directe avec les clients, les fournisseurs et les ouvriers. On suit un projet de A à Z. Depuis le chiffrage jusqu’à la réalisation et la livraison.

Le chargé d’affaires, c’est un peu un chef d’orchestre. Le travail se répartit équitablement entre le bureau et le terrain. Il n’y a pas de règles précises en la matière.

Chaque journée est différente et ne ressemble jamais à celle de la veille ou de l’avant-veille. On ne fait jamais la même chose. On voit des gens différents. Même les problèmes qui se posent ont, chacun, leur particularité. Problèmes que je tente de régler moi-même et si c’est trop important je les soumets au directeur d’exploitation.

C’est un métier qui réclame de l’organisation sous peine d’être vite débordé par la multitude d’informations qui nous arrivent. Il faut savoir hiérarchiser ces informations et traiter au mieux et au plus vite les urgences.

Je chiffre les appels d’offres, je démarche la clientèle, je m’occupe des achats, je négocie les prix, j’assure un suivi financier… C’est une activité très variée qui m’amène à gérer une dizaine de personnes réparties sur différents chantiers. Cela implique une connaissance parfaite de leur propre métier. Les conflits, il n’y en a quasiment pas mais il faut être aussi capable de les traiter. Cela implique un vrai regard à la fois humain et professionnel et une véritable écoute. »

P. S


 

Julien, monteur électricien : «  Mon intervention, elle se fait de A à Z »

 

 

Autre poste à pourvoir au sein de STCE Electricité, monteur électricien. Cyrille Rouard en précise les contours. Nous recherchons un niveau CAP / Bac pro. La personne, un profil plutôt jeune, sera encadrée par un chef de chantier -qui gère plusieurs chantiers- et, au fil du temps, va acquérir une certaine autonomie.

 

Julien a 29 ans. Titulaire d’un BEP et d’un bac électro-technique dans un lycée d’Auxonne, une formation plus orientée sur l’électricité industrielle, il travaille dans deux entreprises avant de rejoindre la STCE en 2014. Son métier, il l’a choisi et il l’apprécie tout particulièrement. Voici pourquoi. « J’interviens à divers moments dans l’évolution d’un chantier de construction.

En phase de gros œuvre, avec la mise en place de boitiers dans les banches utilisées pour coffrer les murs de béton. Une fois que tous les murs sont montés, on incorpore, dans les dalles au sol, toutes les gaines utiles et nécessaires. Un travail qui s’effectue, en règle générale, concomitamment avec le plombier. La phase suivante, c’est l’incorporation placo. C’est là qu’on passe le plus de temps. Mon intervention, elle se fait de A à Z. Du début jusqu’à la fin des travaux. En fonction de la taille du chantier, on peut travailler sur place entre un an et un an et demi. Ma mission s’achève avec la pose des prises, des interrupteurs, les diverses finitions… Tout me plaît dans ce métier qui présente une grande variété. Ca va de l’électricité purement basique à la vidéo surveillance, la protection incendie, l’interphonie… Et c’est un travail qui permet une forme d’indépendance. »

P. S