Afin de montrer à nombre de décideurs économiques les retombées du Zénith à l’échelle de l’agglomération, du département, voire bien au-delà, Dijon Développement et son président François-André Allaert ont organisé récemment une visite de la salle dijonnaise et de ses backstages. La directrice Karine Ripert a ainsi présenté aux participants les chiffres phare de cet équipement que nous vous détaillons dans cette page. Un peu plus de 11 ans après avoir vu le jour – c’était le 15 octobre 2005 avec, comme première, le groupe Texas –, ce phare culturel continue de rayonner de tous ses feux et de générer des retombées économiques d’envergure…
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Lors de cette visite organisée par Dijon Développement, la directrice du Zénith a annoncé le montant des retombées économiques totales générées par la salle de spectacle sur l’agglomération dijonnaise : 12 M€.
250 000
250 000 personnes poussent, en moyenne, chaque année les portes du Zénith de Dijon. 55% à 60% viennent de Côte-d’Or. Parmi les autres, 8% sont de Saône-et-Loire, 5% du Jura, etc.
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Sur les 17 salles du même type en France (hors Paris), le Zénith de Dijon se classe, en matière de fréquentation, en 3e/4e position. Ainsi, au prorata du nombre d’habitants, le Zénith de Dijon est, par exemple, devant son homologue lyonnais.
9000
La capacité du Zénith est modulable. La jauge maximale peut atteindre 9000 personnes (dont 5 300 assises). Grâce à des rideaux noirs, à chaque événement, le public a l’impression que la salle affiche complet. Une des clefs, comme l’a précisé la directrice, de la réussite de cette salle auprès des promoteurs.
100
100 manifestations en moyenne se déroulent chaque année au sein du Zénith de Dijon. Qu’elles soient privées ou publiques : spectacles de tous types (concert, spectacle du Cadre Noir de Saumur, spectacle de cirque…), élection de miss France, Holiday on Ice, cérémonies de vœux, trial indoor, séminaires d’entreprises… Celles-ci ne sont pas étalées de manière régulière sur l’année. L’activité fonctionne, en effet, par pics. Entre mi-octobre et mi-décembre mais aussi entre février et juin, l’activité bat son plein.
1000
Le hall dans lequel vous pénétrez avant rejoindre la salle de spectacle fait 1000 m2. Ceux-ci peuvent divisibles et configurés afin d’accueillir des événements divers, des stands de partenaires. Des écrans peuvent même servir de support de communication visuels.
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Tel est le nombre de permanents de Véga, la société qui gère la structure pour le compte du Grand Dijon dans le cadre d’une DSP (délégation de service public). Parmi celles-ci, 4 œuvrent dans le domaine administratif et 3 s’occupent de la partie technique.
200
Il y a certes 7 permanents mais, les soirs de spectacles, le Zénith s’apparente à une véritable fourmilière, puisque jusqu’à 200 personnes – techniciens, agents de sécurité, pompiers… – peuvent œuvrer sur le site.
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En 2015, le Zénith a soufflé sa 10e bougie avec le bar à Jamait, chanteur emblématique de la capitale régionale. Cette salle a vu, en effet, le jour en 2005, plus précisément, le 16 octobre, avec le groupe de rock Texas et sa chanteuse écossaise Sharleen Spiteri pour la première mondiale de leur nouvel album de l’époque.
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C’est à la même hauteur que la tour Philippe-le-Bon que culmine le Zénith de Dijon, qui fut, rappelons-le, dessiné par le cabinet d’architectes Chaix & Morel, qui avait déjà œuvré pour l’esquisse de celui de la Villette à Paris.
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Rappelons également que l’investissement hors taxe pour la réalisation à l’époque de cet instrument majeur du rayonnement de l’agglomération dijonnaise, qui a permis d’offrir la culture au plus grand nombre, avait atteint 12 millions d’euros.
