L’Auto-École de Bourgogne, pilotée par Thierry Julian, a toujours un temps d’avance. C’est vrai en termes d’éco-mobilité, de citoyenneté mais aussi de qualité. En voiture…
Si Eddy Mitchell avait préféré Austin – le siège de Tesla –, à Memphis, nous aurions pu titrer cet article avec l’un des tubes du crooner français qui adorait être « sur la route… ». Nous sommes certes restés plus prosaïques avec cette formule mettant le cap sur l’avenir… Il faut dire que c’est, véritablement, ce qui anime l’Auto-École de Bourgogne, située au 136 avenue Victor-Hugo, qui fut, dès le 1er avril dernier, la première de la métropole à se doter d’un des modèles phare d’Elon Musk. Une façon de faire prendre conscience à ses nombreux élèves – entre 300 à 350 en moyenne, soit l’équivalent d’un collège ! – du tournant électrique… et des enjeux de la préservation de la planète. Le pilote d’AEB, Thierry Julian, visionnaire à plus d’un titre, n’a de cesse d’innover en matière d’éco-mobilité.
Ainsi développe-t-il en cette année 2023 des formations en entreprise : « Nous proposons des cours de conduite afin que les salariés apprennent à moins consommer. Cela permet de réduire les factures à la pompe, de limiter l’usure du véhicule et de moins polluer. Rentabilité, économie et écologie ! » Fustigeant les plateformes d’apprentissage, car « elles ne permettent pas de former des conducteurs-citoyens », il insiste sur « la dynamique qui ne peut que se créer lorsque les élèves sont réunis dans les salles des écoles de conduite ». A ceux qui s’inquiètent du coût du permis de conduire, il tient à rappeler que « celui-ci peut être financé par le biais du compte CPF ». Et, notamment, chez AEB, qui vient d’être labellisée par l’Etat Qualiopi, Une véritable certification qualité pour les actions de formation de cette école qui vous met parfaitement sur la route… pardon On the Road…
C. G
