Nicolas Ruffino : « J’aurais aimé vivre au siècle des Lumières »

Voilà le genre d’interview qu’on ne trouve pas souvent dans la presse écrite. Des questions qui sortent de l’ordinaire, parfois impertinentes mais toujours souriantes… qui provoquent des réponses « cash ». Après Nathalie Koenders, Première adjointe au maire de Dijon, c’est Nicolas Ruffino, le patron de Mobalpa Dijon-Chenôve, qui a accepté de se poser sur le divan.

Votre autoportrait en trois mots…
Famille, épicurien, sport.

Les meilleurs moments de votre vie en trois dates ?

Ma rencontre avec Véronique et la naissance de mes 2 enfants.

Votre principale qualité ?

Généreux.

Votre principal défaut ?

Obstiné. 

Une phrase pour définir votre métier…

Créateur d’espace de vie. 

Si vous aviez dû faire un autre métier ?

Dessinateur.

L’élément le plus important dans une cuisine ?

La cave à vin.

Un objet dont vous ne pouvez pas vous passer ?

Mon téléphone malheureusement.

Si vous disposiez de la merveilleuse lampe d’Aladin, quels seraient les trois vœux que vous formuleriez ?

Santé, amour et bonheur pour tout le monde 

Le mot de la langue française que vous aimez le plus ?

Phénoménal.

La valeur essentielle à défendre ?

Le respect.

Votre définition du bon goût ?

Le vin de Bourgogne.

Qu’est ce qui ne vous fait pas rire du tout ?

Le mensonge.

La question qu’on ne vous a jamais posée et que vous aimeriez que je vous pose ?

Si votre vie était à refaire, referiez-vous pareil ?

Et si je vous la pose ?

Oui !

L’homme qui vous inspire le plus dans l’histoire de France ?

Robert Badinter.

Et la femme ?

Simone Veil.

Si vous aviez dû vivre dans un autre siècle… Lequel choisiriez-vous et pourquoi ?

Au XVIIIe siècle. C’est le siècle des lumières, de toutes les découvertes.

Quels posters aviez-vous dans votre chambre d’ado ?

ACDC.

Votre série télé préférée ?

Benny Hill.

Une appli indispensable ?

Deezer.

La destination qui vous fait le plus rêver ?

Puglia, en Italie.

Propos recueillis par Jean-Louis Pierre