Le lycée Le Castel accueille près de 2 000 élèves et étudiants. Résolument tourné vers l’avenir de l’éducation et riche de ses formations, l’établissement affirme sa vocation d’excellence et sa préoccupation quant à la réussite de ses élèves.
Apprécié tant par ses élèves que par son personnel pour son espace naturel, arboré et chargé d’histoire, le lycée Le Castel recèle de nombreuses formations diverses et variées. « Véritable campus de formations », comme le caractérise son proviseur Philippe Viollon, l’établissement propose différentes filières, générales, technologiques et professionnelles, de la 2nd à l’enseignement supérieur de niveau 3 en passant par des 3eme prépa-métiers, des CAP ou encore des mentions complémentaires.
Des formations uniques et atypiques
Ces formations technologiques et professionnelles sont regroupées dans divers domaines parmi lesquels la biologie et le paramédical, le tertiaire (communication, informatique, comptabilité-gestion…), la mode et les vêtements ou encore l’hôtellerie et la restauration. « Cette vaste palette de formations rend le parcours scolaire des élèves plus fluide », souligne Philippe Viollon. Et de préciser : « Nos formations en pâtisserie, glacerie, chocolaterie et confiserie, en sommellerie et aux métiers de la mode et du vêtements sont uniques et atypiques en leur genre ».
L’enseignement général propose également un large choix d’options artistiques (arts plastiques, cinéma-audiovisuel…) et linguistiques (chinois, italien, arabe…) en vue de contribuer à l’épanouissement et à la réalisation de nombreux parcours.
« En parallèle, nous mettons aussi en place des dispositifs d’accompagnement pour des élèves qui ont des besoins particuliers comme la classe d’accueil des élèves nouvellement arrivés en France », confie le proviseur.
« Instaurer un climat d’enseignement et de vie agréable est fondamental pour la réussite de chacun. Je suis entouré de deux cents professeurs animés par la même volonté : proposer des formations à taille humaine. Le lycée Le Castel n’est pas une usine ».
Doriane Caillet
