Anne Leducq, Center manager à Dijon, si vous deviez utiliser trois mots pour décrire Wall Street English ?
« Efficace, convivial, n°1 mondial ».
Qu’est-ce qui fait le « plus » de Wall Street English par rapport à ses concurrents ?
« Une vraie méthode qui garantit 97% de réussite, un suivi individualisé, des formateurs anglophones qualifiés ».
Vous souvenez-vous de votre note d’anglais au bac ?
« 16/20 ».
La domination de l’anglais n’est-elle pas de nature à favoriser la disparition de langues nationales à l’école ?
« Il y a encore des gens pour penser ça aujourd’hui ? »
Les Français utilisent parfois le mot « rosbif » pour désigner les Anglais. Comment nos voisins d’outre-Manche réagissent-ils à cette formule si peu élégante ?
« Ils nous taquinent eux aussi ! Pour les Anglais, les Français sont des « mangeurs de grenouilles » (anglais : Frog-eaters), Français qu’ils surnomment donc plus ou moins affectueusement, en contractant l’expression, Frogs ou Froggys ».
Si vous étiez un auteur anglais ?
« Je choisirai plutôt un réalisateur anglais, Ken Loach ».
Si vous étiez un musicien anglais ?
« Coldplay ».
Quelle région du Royaume Uni appréciez-vous le plus ?
« J’ai de très bons souvenirs de Leeds et Peterborough pour y avoir passé pas mal de temps plus jeune ».
Dans quel pays anglophone aimeriez-vous le plus travailler ?
« Plusieurs de mes amis qui sont allés travailler en Australie ont vanté une ambiance détendue, cool et où on catégorise moins les gens selon leurs diplômes ou expériences ».