En toute liberté avec Cyrille de Crépy

Votre autoportrait en trois mots ?

Travailleur, sensible, persévérant. Trois qualités, entre autres, pour être chef d’entreprise en 2013. J’ajouterai volontiers écoute, confiance, détermination et ajoutez une pincée d’inconscience sur tout ça.

Les meilleurs moments de votre vie en trois dates ?
2002, naissance de mon fils Louis.
2004, naissance de ma fille Alix.
2006, mon dernier bébé : la société SOPIRIM, créée avec Eudes-Guilhem Marino.

Trois mots pour définir votre métier de promoteur ?
Satisfaire les familles, contribuer à l’évolution de la cité, un vrai rôle de médiation.

Ce métier, vous l’avez choisi parce que votre père était architecte ?
Non, parce que j’ai raté mon concours à l’école d’avocat.

Et la promotion s’est imposée ?
L’acte de construire m’a toujours plu.

Parce qu’on vous offrait des Legos quand vous étiez petit ?
Oui, mais malheureusement les logos en béton n’existaient pas encore…

Quel poster aviez-vous dans votre chambre d’adolescent ?
Madonna.

Le métier dont vous rêviez enfant ?
Je n’en avais pas la moindre idée… Ah, si, flic. De préférence à la Crim. Mais j’entends déjà certaines mauvaises langues dire que j’ai rejoint le clan des voleurs.

Comment voyez vous évoluer votre profession ?
Un développement des marques nationales qui travailleront sur les grandes zones d’aménagement avec des produits standards mais avec peu de spécificité et les petites structures locales, spécialistes du mouton à 5 pattes, qui arriveront à respecter les contraintes liées à la reconstruction de la ville sur la ville.

Un objet dont vous ne pouvez pas vous passer ?
Un stylo pour noter toutes les bonnes idées que l’on prend ici ou là.

A part votre métier, une autre passion dans la vie ?
Voler. Je viens de créer une deuxième société dont l’objet est la location d’avion « coque nue », c’est à dire vous louez l’avion et vous le piloter.

Vous-même vous pilotez ?
Oui sur un Mooney, un avion à quatre places. Et je vole dès que je peux.

Votre gros mot favori ?
Hausse d’impôts !

Quel est le rêve que vous n’avez pas encore réalisé ?
Mon problème, c’est que je suis un doux rêveur.

Quelles sont vos bonnes adresses à Dijon et sur l’agglo ?
L’auberge du clos du Roy, chez Philippe Poillot, Fallone, rue d’Auxonne, parce que je suis un fan de musique et je joue de la guitare.

Votre guitariste préféré ?
J’en citerai deux : Eric Clapton et Marc Knopfler.

Lieu de vacances idéal ?
Port Crau.

Sportif ?
Oui. Footing, de 10 à 15 km, trois fois par semaine.

Plutôt rouge ou blanc ?
Blanc. Clos blanc de Vougeot du domaine de la Vougeraie.

Quel est le meilleur moment de la journée ?
Quelle elle commence.

Premier geste du matin ?
Internet et Google News.

Dernière chose que vous faites le soir ?
Embrasser mes enfants.

L’endroit que vous préférez à Dijon… ?
L’aéroport Dijon-Bourgogne mais il faut que je me dépêche d’en trouver un autre…

Qu’est-ce que vous trouvez de bien dans Dijon l’Hebdo ?
Son impertinence maîtrisée.

 

1975. Naissance à Paris.
1994. Election à la vice présidence de l’AGEB (Association générale des étudiants de Bourgogne)
2001. Election à la présidence de Jurivision, l’association des étudiants en DESS Droit de la consommation.
2003. Première opération immobilière à Dijon, allée Desperriers.
2008 à 2012. Secrétaire, puis vice-président de la Fédération régionale des Promoteurs immobiliers.
2010. Membre du conseil d’administration de la CGPME Côte-d’Or.