Houperthon, Nadal, poste Grangier…

Le Houperthon n’est pas le téléthon
J’ai une amie qui est mariée à un proche du sénateur Alain Houpert. Elle m’a raconté que ce dernier avait visiblement du mal à boucler son budget aux dernières élections municipales de Dijon. Un mail a été envoyé à des personnes qui ont participé activement à la campagne électorale pour leur demander de mettre la main au portefeuille. Vous n’allez pas me croire mais les destinaires du courriel ont crié aux loups… Résultat : le houperthon n’a pas fait du tout recette. Quand on disait que tout n’allait pas très bien dans cette équipe…

Nadal a du coeur
Samedi 31 mai, j’étais à Roland-Garros. Chaque année, c’est mon pèlerinage. Ca me rappelle mes jeunes années où je bataillais sur les courts du TCD, boulevard Voltaire, l’hiver, et près du CHU, l’été. En fait, je m’arrange pour faire coïncider mon déplacement avec un match de Rafael Nadal. Je suis une fan inconditionnelle du Majorquin qui n’a pas manqué de saluer Jérôme Golmard, le tennisman dijonnais atteint de la maladie de Charcot, maladie dégénérative qui a privé l’ancien 22e joueur mondial de l’usage de ses jambes. Un geste sympa et émouvant.

Où est le panneau ?
Surprise, je l’ai été en découvrant que le panneau annonçant le projet de grands travaux sur la Poste Grangier -création d’un hôtel et galerie de magasins- avait disparu de là où il avait été installé rue Jean Renaud. Il se pourrait bien que ce projet ne soit pas aussi simple qu’une lettre à la poste… A moins qu’un coup de vent ne l’ait transporté en d’autres lieux.